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 Aithura, Un monstre parmis les humains...

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AuteurMessage
Aithura

Aithura


Messages : 9
Date d'inscription : 23/08/2013

Feuille de personnage
Race: Humains
Âge: 23
Niveau: novice

Aithura, Un monstre parmis les humains... Empty
MessageSujet: Aithura, Un monstre parmis les humains...   Aithura, Un monstre parmis les humains... EmptyVen 23 Aoû - 18:41

« Aithura »
La peur n'évite pas le danger, la mort... si...

Fiche d'identité

Surnoms: Le serpent noir
Age: 24 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine (modifiée)
Peuple: Humain
Rang: Marionettiste
Métier: Assassin
Dieu Lié: Kaelaam


Capacité


Niveau 1:

15 points à partager:

  • Endurance:4

  • Vitesse:4

  • Force physique: 2

  • Puissance magique:0

  • Résistance physique:0

  • Résistance magique:0

  • Charisme: 2

  • Eloquence:3


Pouvoir:

Ce n'est que la cause de sa modification, les morsures de la demoiselle sont venimeuse, ainsi que son sang, sa salive est l'antidote de ce poison mais aussi un excellent cicarisant et coucher avec elle procure un plaisir plus grand qu'avec n'importe qu'elle femme, de l'humaine à la succube...



Arme et Equipement:

Couteau à lancer, scalpel et arbalète à bras.

Code présent dans le reglement:
I'm the boss I need code?



.


Description physique
Miroir mon beau miroir…


Une silhouette sombre se détache dans la nuit noire. Une silhouette fine et féminine. Une jeune femme, nue dans le lac prend son bain. Ses long cheveux bruns tombent jusqu’à la moitié de son dos, des cheveux soyeux et brillants aussi noir que le voile sombre de la nuit. Elle passe ses mains blanche dans cette longue chevelure qui, dans le mouvement découvre sa poitrine blanche, cette poitrine ne ferait pas pâlir d’envie par la taille, elle est loin d’être grosse, mais cette poitrine ferait pâlir d’envie pour sa sensualité… Deux globes de chaire blanche qui pointe fièrement vers le haut, nul besoin de corset ou autres artifices pour la tenir en place. Sa taille est élancée et musclée, loin d’être trop musclé elle est finement svelte et sportive. Ses hanches sont rondes et débouchent sur des fesses à l’image de ses seins. Loin d’être celle qu’un homme aux grandes mains aurait pris avec difficulté elles sont elle aussi musclées et rondes.
En sortant de l’eau la jeune femme laissa apparaître des jambes fines et fuselée, des jambes qui pourrons lui permettre de courir longtemps et rapidement. Le corps de cette femme n’a rien à envier aux femmes de petites vertu les plus belle, mais elle n’est pas non plus irrésistible, loin d’être une succube la demoiselle se défend tout de même.
Elle s’avance vers ses vêtements, sa démarche est suave ses hanches balance de gauche à droite, au rythme de ses bras, elle ne marche pas particulièrement vite mais elle fait de grand pas, ses jambes telles celles d’une araignée plient souplement pour la déplacer. Elle enfile un pantalon de cuir rouge et noir et un haut de la même couleur et de la même matière. Celui-ci laisse apparaître son dos et un décolleté qui choqueraient une femme de bonne famille. Elle enfile ses bottes noires souples, des bottes qui lui permettent de courir discrètement sur tous les sols. Puis elle range ses armes.
Son visage est déterminé et ses traits sont fins et anguleux son regard est dur et ses pupilles sont rubis. Elle est oscille entre la fascination et l’effroi… Ses lèvres épaisses on la couleur du sang et son plus sombres que celles d’une femme lambda… quand a son sourire il glacerait d’effroi un guerrier glaciac… La demoiselle en a conscience et ne tente pas de paraitre douce… Elle est une énigme, grande et mystérieuse… Effrayante et enivrante…

Description mental
La folie est signe d’intelligence


Sonder l’esprit d’Aithura relève de la folie… Est-elle douce ou est-elle dure ? Est-elle sadique ou n’a-t-elle s’simplement pas  conscience du bien et du mal ? Aithura est une énigme vivante elle ne parle pas beaucoup mais réfléchit énormément, l’on comprend que la demoiselle est rusée voir manipulatrice… Elle vous sourit en coin, charmeuse et dangereuse… Elle n’est pas de ces personnes qui inspirent confiance et ne compte pas en être… Tout ce qui l’intéresse c’est son voyage… de l’or et Logan… Même si celui-ci n’a pas l’air d’être la chose la plus importante à laquelle elle pense… Elle ne dit jamais à quoi elle pense en réalité… souvent son regard se perd dans la contemplation d’un ciel étoilée mais ne lui dite pas qu’elle rêve ou qu’elle réfléchit, elle ne vous répondra pas… Elle posera son regard froid sur vous, sans rien dire, vous glacera le sang et finira par vous tuer si vous vous montrer top insistant… En réalité son sadisme ressortira, elle vous torturera et vous tuera…
L’on ne peut pas dire que la jeune femme soit lubrique, mais il lui arrive par moment de s’abandonner aux bras chaud d’un homme qui lui plait… chose très rare… Elle s’en sert aussi pour avoir des informations, de ce corps qui aguiche sans qu’elle ne le veuille. Bien plus solitaire que séductrice elle n’aime pas vraiment la compagnie d’êtres vivants… En réalité elle fuit les êtres vivants, jugée comme un monstre…
Elle sait qu’elle peut être mortelle simplement avec son sang, elle sait qu’elle peut rendre un homme fou d’elle avec une nuit et elle sait que sa salive est l’anti poison de son corps. Elle s’en sert donc sans problèmes pour gagner un peu d’argent en plus, voir même beaucoup d’argent les vendant à prix d’or dans les marchés noirs. Elle parle peu à ses acheteur, peu d’entre eux n’ont entendu le son de sa voix et aucun ne connaissent son nom… Tous la nommaient Elenne, le nom qu’elle se donnait…
Aithura n’aime pas grand monde, mais les pays en dehors du dôme humain la fascine, elle s’y rend très souvent et cette fois est légèrement moi farouche, elle parle un peu, ou plutôt elle répond aux questions mais est toujours aussi frigide et effrayante… Une peur qui fascine… Au final, ce qui est à retenir c'est qu'elle n'aime pas les humains, en réalité, elle aimerait les voirs morts...


Histoire
Ce n’est pas l’histoire qui fait le hero


Prologue : Il était une fois…

Le feu brulait doucement, illuminant le visage angélique de la petite fille. Ses longs cheveux bruns ondulaient légèrement dans le vent de la nuit. Une nuit étoilée et sans nuages. La lune était absente ce soir-là, pas un bruit, pas un cri, pourtant le feu, dans ses flammes rougeoyante léchait doucement la peau blanche de la petite fille… Elle regardait ainsi son bras bruler avec ce même sourire angélique au visage. Rien ne semblait lui arriver, c’était comme si son bras était plongé dans de l’eau. Une eau calme qui ne la faisait pas souffrir… Pas une grimace ne déformait ce visage poupin… Jusqu’à ce qu’un cri déchire le calme plat de cette nuit d’hiver… Une femme arriva en courant attrapant la petite par le bras, elle plongea l’autre bras de l’enfant dans l’eau pour éteindre le foyer, la peau de la petite était alors couvertes de cloques et rouge, du sang impure suintait de ses plaies sans même lui arracher un cri…Elle comprend alors. Tout devient tellement plus clair, elle comprend pourquoi sa petite ne pleurait jamais lorsqu’elle tombait, pourquoi elle ne réagissait pas aux gifles, pourquoi elle ne réagissait pas aux coups… Elle ne pleurait jamais non plus… La mère ne comprenait pas, elle ne savait pas pourquoi sa fille était ainsi, pourquoi la douleur ne l’atteignait pas, pourquoi ne réagissait-elle pas en regardant le soleil ? Pourquoi de criait-elle pas de douleur lorsqu’elle saignait ou se brulait? La femme ne pouvait rien faire, rien faire de plus qu’amener sa fille dans l’hôpital le plus proche… Ou plutôt l’apporter au professeur Von Dreck lorsque celle-ci eu 15 ans. Le proffeseur était un brillant chercheur qui travaillait sur les troubles de l’esprit… En théorie…des légendes urbaines disaient que ce professeur faisait des recherches sur les humains en générales… Et que tous ses patients sont morts après de multiples expériences plus ou moins licites… Qui y-a-t-il de plus dur pour une mère que de confier un enfant à un parfait inconnu ? Pourtant c’est ce que Maywen fit de la petite Anabelle… La petite fut exposée nue aux yeux du professeur véreux, la sentence fut irrévocable… La petite était aussi dangereuse pour elle que pour son entourage, elle pourrait à tout moment (d’après Von Dreck) tuer sa propre mère ou son père sans même se rendre compte du mal qu’elle faisait… Ou encore torturer d’autres enfants simplement parce qu’elle trouve cela amusant. Anabelle fut donc mise dans une cellule… loin de sa mère, et comme la petite mordait elle fut forcée de porter une muselière… Elle fut condamnée à ne plus voir ni sa famille, si la lumière du soleil…

Chapitre premier : Expérience 157

Semaine une

Nous avons laissé le sujet 157 durant cette semaine dans sa cellule, sans nourriture autre que de l’eau. Elle ne semble pas en souffrir physiquement. Elle ne bouge pas, elle ne souffre pas, elle a perdu beaucoup de poids… 157 semble totalement insensible à la faim… Mais son corps ne semble pas plus résistant que celui d’un humain lambda, elle semble avoir besoin de se nourrir et de s’hydrater. Lorsque nous lui apportons la nourriture elle se jette dessus et dévore tout avec rapidité ne semblant pas souffrir non plus des crampes d’estomac qu’attraperait une personne après un telle festin suivant une si grosse malnutrition. 157 est vraiment fascinante… Nous avons également noté une inactivité de ses glandes lacrymales et une absence de battements de scilles… Son regard est toujours fixe… Nous devons souvent lui hydrater les yeux pour qu’elle ne perde pas la vue.

Semaine deux

Nous avons incisé sa chaire au niveau de ses cuisses et de ses bras, nous avons essayés de lui arracher les ongles et de passer du citrons sur ses plaies mais 157 ne semble pas réagir à la douleur. Elle ne semble même pas comprendre ce qui lui arrive… Nous avons descellé chez elle une inactivité des terminaisons nerveuses liées à la douleur… C’est donc pour cela qu’elle n’y réagis pas. Elle serait donc parfaite pour des expériences, cette petite ne souffrant pas elle pourrait subir des expériences fortes intéressantes… De plus les poisons les plus douloureux ne lui font aucun mal, nous pourrions en profiter pour lui administrer assez d’antidote afin de la rendre résistantes aux poisons. Je ne sais pas si elle survivra aux expériences mais elle résistera à la douleur.

Semaine trois

Nous avons essayé de sortir 157 de sa cellule pour commencer les expériences, mais ce fut en vains… Elle s’est débattue malgré les coups que nous lui avons donnés, nous avons fini par l’assommer et l’attacher à un lit d’opération. Nous avons été obligés de serrer les bracelets en cuir le plus fort possible afin qu’elle ne bouge pas. Nous avons donc commencés à lui administrer un sérum de venin de serpent. Un venin très puissant à petite dose pour le premier jour, ensuite nous avons augmentés la dose chaque jours jusqu’à ce qu’elle soit immunisée contre ce poison. Nous avons choisi pour cette fois un faible poison, celui d’une vipère, comme l’expérience fut une victoire, nous allons pouvoir continuer ces expériences sur 157 mais nous allons limiter les doses à une semaine sur deux.

Semaine quatre

Cette semaine nous allons faire des recherches plus profondes sur 157, nous avons donc mis un chat avec elle dans sa cellule. Les deux premiers jours elle a semblée lointaine et méfiante envers l’animal, le troisième jour elle le câlinait. 157 semble donc capables de faire preuve de douceur malgré sa violence physique. Elle s’est donc occupé du chaton avec douceur, le lui enlever fut difficile pour nous, et dangereux. 157 a coupé le genou de Marco avec un scalpel qu’elle nous a volé. En plus d’être rusée 157 est rapide et discrète. Nous devons donc trouver un moyen de punir 157 car, ne sentant pas la douleur, les coups n’ont aucuns effets sur elle… Ainsi nous l’enfermons donc dans une salle totalement noire et nous la laissons ainsi durant plusieurs heures. Malgré son manque de sensibilité à la douleur, elle semble paniquer dans le noir… La semaine prochaine nous sera favorable, nous pourrons enfin recommencer les expériences physiques sur elle.

Semaine cinq

Cette semaine nous allons enfin pouvoir recommencer les expériences avec les poisons. Cette semaine nous testons le poison d’une araignée, plus exactement, une mygale… La douleur ne se fait toujours pas sentir chez la petite, mais les poisons semblent être bien plus difficiles à subir. Nous allons donc réduire les doses à un jour sur deux. Cela tombe bien, la semaine prochaine sera donc bien plus intéressante que la semaine précédente. C’est à la troisième injection que 157 semble mieux résister au poison.

Semaine Six.

Nous avons injecté les dernières doses de poisons à 157. Elle semble résister difficilement mais elle résiste. Ce fut encore une réussite, la morsure de la mygale n’a pas eu grand effet pour elle. Seulement celui d’énerver la petite. Elle semble dotée d’un sadisme hors normes… Se fichant pas mal de savoir si oui ou non l’animal souffrait. Elle lui a arrachées les pattes une à une ayant l’air de trouver cela amusant… La petite à même essayé d’arracher les ongles de Marco…

Semaine sept

Nous avons cette semaine laissé un prisonnier condamné à mort dans la cellule de 157, le résultat fut fulgurant… Au commencement elle ne faisait que lui arracher les cheveux et les ongles, elle s’est servi ensuite du scalpel pour découper sa peau. Aithura fait preuve d’un sadisme sans faille, les hurlements et les pleurs de l’homme ne lui faisaient aucuns effets… Elle jouait avec son sang, avec sa peau, avec ses membres et ses os… Tout ce qu’elle trouvait à faire était rire… Aithura faisait preuve d’une précision chirurgicale, elle n’opérait dans le tuer jusqu’à ce qu’elle en ai assez et laisse le patient mourir d’hémorragie. Un sadisme que l’on ne voit que chez les créature magique… Nous pourrons faire d’elle une arme…

Semaine huit

L’expérience Aithura est à nouveau allongée sur la table d’opération, cette fois nous essayons sur elle le venin d’un scorpion des sables, plus le temps passe plus son corps semble assimiler de poison à une partie entière de son être. Nous avons donc doublé les doses. Etrangement le sang de 157 ne désintègre pas totalement le poison, il fait petit à petit du poison une partie intégrante de son être. Nous nous demandons alors si un jour le sang de 157 ne sera pas totalement du poison. Mais nous n’en sommes pas là. Encore une fois, à la fin de la semaine elle est immunisée contre ce poison, les autres poisons semblent ne pas avoir un grand impact sur elle. Ils la paralysent mais ne la tuent et l’amènent au bord de la mort bien plus longtemps que pour un humain lambda.

Semaine neuf

Cette semaine nous testons un nouveau poison sur 157 celui de la veuve noire. Un poison très puissant. Il a été plus difficile pour elle à supporter, peut-être parce que nous n’avons pas laissé de temps entre les deux différentes injections. Habituellement nous faisons cela une semaine sur deux mais nous devons aller vite, une fois grande, 157 devra apprendre à lire et à écrire et cela sera plus difficile pour elle si elle est trop vieille… Le venin de veuve noire est le quatrième venin que nous lui administrons. Son sang s’assimile petit à petit à du poison, il devient plus sombre et s’acidifie.

Semaine dix

Nous allons tester sur 157 un nouveau poison, celui d’un serpent corail. Plus le temps passe, plus Aithura résiste au poison, nous pouvons maintenant lui administrer les 7 dose en 3 doses, la dos deux, la quatre et la sept. Elle ne souffre toujours pas mais nous n’avons plus besoin d’humidifier ses yeux. Ceux-ci le font eux même. En les examinant nous avons remarqués que ceux-ci étaient devenus rouges et que la couche humide recouvrant ses yeux est du poison… Son acuité visuelle est excellente, voir meilleur qu’à son arrivée et ses réflexes sont de plus en plus poussés.

Semaine onze

Après quelque examens, nous avons remarqués que le corps de 157 produisait son propre poison, sa salive est un excellent cicatrisant, son sang est un poison mortel, un mélange entre celui de la veuve noire et du serpent corail. Nous avons aussi trouvé une multitude d’autres poisons dans son sang que nous pourrions revendre à prix d’or sur les marchés noirs. Nous allons pouvoir commencer à lui apprendre à ce civiliser.

Chapitre second : Le poids de l’apprentissage

Semaine treize

Nous avons commencé à apprendre à 157 à lire, elle semble apprendre très vite et au bout d’une semaine elle a réussi à réciter son alphabet. Aithura est une enfant très intelligente qui se sociabilise petit à petit. Elle faut la différence entre nous et développe des affinités avec certains des scientifique mais pas avec d’autre. Nous pouvons aussi remarquer qu’elle n’aime pas certains d’entre nous, elle peut même se montrer violente avec eux. Aithura est très attentive pendent les cours d’anatomie, surtout lors des cours d’anatomie humaine, elle passionnée par ce que nous faisons et la dissection des cadavres est certainement ce qu’elle préfère. Elle ne semble pas faire la différence entre le bien et le mal, mais ses accès de violence semblent avoir disparus… Aithura semble avoir du mal à supporter les vêtements et se plait à vivre nue, mais en vue de sa croissance elle ne pourra pas rester comme cela toute sa vie… Les vêtements en cuir bouillit semblent être celui qui lui plaisent le plus…

Semaine Quatorze

Aithura connait parfaitement son alphabet maintenant, elle supporte de mieux en mieux les vêtements et semble de mieux en mieux connaître des parties du corps. Elle est capable d’extraire un organe sans toucher aux autres sur un être mort, nous avons voulu tester ce qu’elle serait capable de faire sur un être vivant, nous lui avons donc apporté un nouveau condamné à mort. Elle lui a extirpé un rein sans anesthésie, elle a fait preuve d’une douceur que nous ne lui connaissions pas et l’homme n’a pas plus souffert que cela. Elle a ensuite recousu l’homme qui semble en parfaite santé.
Aithura sait dorénavant écrire son prénom elle connait l’histoire de ce prénom. Nous lui faisons également faire du sport afin de muscler son corps.

Semaine Quinze

Les aptitudes physiques d’Aithura sont de plus en plus intéressante, elle est capable de sauter assez haut et court rapidement. Elle est en plus très discrète. Son sadisme à légèrement diminué. Elle ne fait toujours pas la différence entre le bien et le mal, mais elle ne tue plus pour le plaisir. Elle ne le fait que lorsque nous lui permettons de le faire. L’apprentissage de la lecture et de l’écriture avance bien. Elle a lut la légende d’Aithura, fille de Kaelaam non sans difficulté mais elle l’a lue. Aithura. Nous avons aussi réussi à la faire sourire. Il semblerait que les chatouilles la fassent réagir. Le corps d’Aithura se forme petit à petit, elle est destinée à devenir vraiment très belle. Elle est aussi très rusée et aime chaparder du chocolat ou d’autre sucrerie que certains d’entre nous avons dans nos poches.

Semaine seize

L’apprentissage d’Aithura est fascinant, cette créature apprend avec une vitesse folle et semble adorer ça. Elle en demande toujours plus. Elle sait rapidement déchiffrer et compter. Nous avons essayés de la sortir mais elle a tenté de s’enfuir, alors pour qu’elle puisse tout de même se promener, nous l’avons tenue en laisse. Les passants semblaient choqués de ses yeux et de sa laisse, ils ne voulaient pas s’approcher d’elle même si elle a sans cesse essayé de s’approcher, paraissant polie et souriante… Elle m’a d’ailleurs demandé pourquoi ils étaient tous aussi distants avec elle. Je lui ai expliqué que c’était à cause de sa différence… Elle semble avoir pris conscience de la crainte des humains envers elle et lors de la deuxième sortie elle n’a approché personne mais elle n’a pas résisté à l’envie d’aller voler du chocolat…Pour la punir nous l’avons enfermée dans la pièce noire. Cela semble toujours être la seul chose qui a de l’effet sur elle.

Semaine dix-sept

Aithura se passionne pour la lecture maintenant qu’elle sait lire, elle apprend de ce fait très rapidement. Ecrivant très mal elle nous conforte dans l’idée d’être très intelligente car une trop forte activité intellectuelle du cerveau pousse le patient à écrire très mal. Elle ne réagit plus lorsque nous l’appelons 157 elle se nomme donc Aithura maintenant. Certains d’entre nous lui donnent des surnoms plus ou moins mignons auquel elle ne réagit que lorsque celui qui l’a baptisé ainsi le mentionne. Sa croissance ne semble pas être ralentie, son corps réagit parfaitement au caresses et chatouilles mais toujours pas à la douleur… Le message de la douleur ne vas donc pas jusqu’à son cerveau.

Semaine dix-huit

Nous avons cette fois essayé de donner un vrai bain à Aithura. Durant de long mois nous ne l’avons lavé qu’avec un linge humide, cette fois nous lui avons donné un vrai bain. Les menstrues de l’expérience ne semblent toujours pas être arrivées. Elle a pourtant l’âge passé pour cela. Elle doit donc être stérile… Peut-être à cause de toutes ces expériences sur elle… Je lui ai moi-même donné son bain et il s’est avéré que, rester concentré sur l’expérience fut une chose très difficile… Nous allons continuer l’apprentissage sur elle… Les semaines se passent et son corps se forme petit à petit… Elle devient de plus en plus belle et de plus en plus intelligente. Elle sait de mieux en mieux écrire et lire… Mais elle sait aussi séduire… Peut-être qu’elle à cela comme un instinct naturel…

Semaine dix-neuf

J’ai craqué… Je l’ai fait… J’ai couché avec elle… Je ne comprends pas encore ce qu’il s’est passé mais j’y ai pris plus de plaisir qu’avec n’importe qu’elle autre femmes… Elle semble être doté d’un poison qui s’écoule entre ses jambes et fait prendre bien plus de plaisir à tout être qui couche avec… Nous avons essayé avec plusieurs scientifiques pour tester cela et il semblerait qu’elle soit vraiment dotée de cette substance… Nous en avons donc prélevé pour faire des teste dessus… Le gout et l’odeur sont enivrants, et c’est bien là la base du plaisir que nous avons ressenti… Rapidement Aithura est devenue un jouet sexuel au sein du groupe, elle ne tombe pas enceinte et surpasse toutes nos femmes… Je ne sais pas si cela est bien ou non, mais nous n’arrivons pas à nous retenir… Devenant presque accrocs à ce plaisir intense… Alors serais-ce cela la conclusion de tant de semaine de travail ? La création d’une arme qui serait devenu un jouet sexuel ? Aucun de nous ne semble capable de lui résister, de plus elle semble y prendre elle aussi grand plaisir…

Deux ans plus tard…

Une silhouette sombre, fine et gracile… Fragile ? Elle n’en a pas l’air… Ses mouvements sont rapides, sec et violents, elle évite avec aisance le rondin de bois qui arrive droit sur elle et détruit le mannequin avant que celui-ci n’ai le temps de lancer ses lames. Rapidement la silhouette qui semblait appartenir à une femme, comme l’en témoignait une épaisse et longue chevelure de jais ainsi que des hanches rondes, se trouva debout face à  un homme. L’instant fut très court, mais elle hésita avant de le protéger en envoyant ses couleaux à lancer directement dans le crâne du loup géant qui la suivait. Elle finit par envoyer son serpent attaquer les deux hommes armés puis elle prit son protégé par la main avant de l’apporter jusqu’à l’extérieur de la salle d’entrainement. Pas une égratignure sur le corps du garçon, par contre, Aithura, car il s’agit là bien d’elle se trouve avec l’arcade coupée. Une lame a réussi à légèrement entailler ses chaires au niveau de son visage. Les scientifiques se mirent à applaudir l’exploit de  la demoiselle qui avait bien changée. Elle était plus musclée, ses courbes étaient plus présentes et son regard plus charmeur. La petite fille aux grand yeux innocent était partit, les hommes de cet institut avaient réussi à faire d’elle une femme fatale et prédatrice. Elle délaissa ses maîtres pour s’engouffrer dans le couloir qui menait directement à sa chambre.

Le jeune homme qu’elle avait sauvé l’avait suivi discrètement, mais elle le savait. Elle avait senti sa présence et l’attendait de pied ferme. Ce qu’elle n’avait pas prévus c’est que lui aussi savait où elle était, il l’attrapa par les épaules et la poussa sur le lit. Les yeux dans les yeux les deux jeunes se cherchaient du regard, pour la première fois… Ils n’avaient jamais été vraiment proche l’un de l’autres, mais n’avaient jamais été lointains non plus… Deux jeunes personnes au physique avantageux qui se cherchaient tout en s’évitant… Mais cette vois Logan n’en pouvait plus… Il ne voulait plus l’éviter, il voulait la posséder. Ses mains déjà parcouraient son corps ferme et caressaient sa peau luisante de sueur… Il lui sourit se levant pour lui préparer un bain avant de l’y emmener et de lui-même s’occuper d’elle. Il finit par ne pas lui laisser le temps de se revêtir et de s’occuper de son corps chaleureux et meurtrit pour toute la nuit. Ce fut la première fois qu’Aithura n’avait pas envie de repousser un homme, au contraire, cette foi elle y trouva douceur et plaisir, volupté et envie… Elle se laissa donc porté tout au long de cette douce nuit par les caresses chaleureuse de Logan pour la première fois ressentir autre chose que de la haine dans son cœur froid et décomposé…

Le lendemain ce fut un nouvel entrainement et le soir en fut la même conclusion. Elle ne connaissait pas se sentiment qu’elle éprouvait, mais elle savait qu’au plus profond d’elle qu’elle tenait à Logan et qu’elle ne voulait pas le perdre. Seulement les jours passèrent et les scientifiques jalousèrent le jeune homme… Ils cherchaient sans cesse à séparer les deux tourtereaux mais en vain… Les deux jeunes arrivaient sans cesse à se retrouver à un moment ou à un autre, ils s’aimaient, c’était indéniable mais devant leur incapacité, les scientifiques voulurent séparer définitivement les deux jeunes amoureux… Cette fois, l’entrainement d’Aithura tourna mal pour la simple et bonne raison que les scientifiques tuèrent Logan de sang-froid. La jalousie et la  haine qu’ils éprouvaient était tel qu’ils mirent fin aux jours du jeune homme et supprimèrent ainsi une histoire d’amour qui avait commencée. Aithura fut à nouveau offertes aux nuits lubriques des scientifiques, elle fut à nouveau le jouet des hommes de l’institut… Cela ne servait à rien de se débattre… La jeune femme était attachée et condamnée  à être violée par un ou plusieurs hommes, chacun la rabaissant à l’état de salope comme ils aimaient la nommer… Aithura ne réagissait jamais… Pas un gémissement, pas un mouvement de hanche, rien… Elle se laissait faire… silencieuse, comptant les mâles qui passaient par là en une nuit… trois quand elle était chanceuse, 8 quand elle ne l’étaient pas… Tous plus lubrique et véreux les uns que les autres…La haine grandissait dans le cœur maintenant en charpie de la jolie femme serpent, elle n’en pouvait plus… Elle voulait que tout s’arrête et être enfin libre… Mais la liberté n’est pas faite pour les personnes comme elle… Aithura est et sera toujours condamnée à être le jouet sexuel d’hommes trop peu scrupuleux et manquant de respect envers elle… Le prix à payer pour la beauté…

Chapitre final : la goutte qui fait déborder le vase…

Mes paupières sont lourdes et je me sens encore une fois endormie. Autour de moi tout est noir, ne reste que les hommes qui ont passé la nuit avec moi jonchant mollement le même sol que moi… Je me redresse doucement en calmant ma rage… J’ai envie de tous les tuer, de tous les brûler… Sans le moindre scrupule… Ils sont mon haine… ils sont les assassins de Logan… Ils sont ceux que j’ai toujours haïs… Je me lève doucement et longe les couloirs de l’institut, nue… J’entre dans ma chambre et ouvre mon armoire, enfilant des vêtements de cuir rouge foncé. Puis une paire de bottes avant d’entrer dans le bureau du professeur van Dreck. Il n’était pas là ce soir… Je ne l’avais pas senti se glisser le long de mon corps… Mais plusieurs carnets se trouvaient sur son bureau. M’asseyant sur le grand fauteur de cuir je lisais les notes du professeur, je n’étais qu’une expérience, un jouet… Et Logan était comme moi… D’après le carnet du professeur ils ne l’avaient pas tué, mais ils l’avaient banni de chez les humains… Où pouvait-il être ? Qui y’avait-il au-delà du mur… Pouvait-on sortir du dôme ? Si c’était possible, j’avais alors une chance de trouver Logan ! Je me redressais plus déterminée que jamais, je devais effacer mon existence et celle de Logan, je devais partir d’ici de suite ! Mais comment ???

Parcourant l’institut je trouvais une multitude de produits, certains d’entre eux étaient inflammables, Von Dreck m’en avait déjà parlé… Doucement je retrouvais dans la salle de torture, celle où dormaient tous les mâles qui m’avaient fait affront, je les recouvrais de ce produit m’asseyant au niveau de la porte. J’avais jonché le sol des couloirs de vêtements en lambeaux, le tissu à cette propriété de brûler rapidement. Puis j’attends. J’attends qu’ils se réveillent, qu’ils me regardent avec leurs même sourire d’abrutis… prêts à tout pour passer à nouveau la nuit avec moi. L’un d’entre eux regarde ma torche, il s’approche de moi cherchant à savoir ce que je veux en faire. Le feu est doucement attiré vers lui, le produit s’enflamme rapidement m’arrachant un sourire et poussant l’homme à hurler. En courant pour réveiller les autres il ne fait que ce rouler dans ce fameux produit et enflammer d’autres hommes. Une odeur âpre de chaire brûlée et de sang s’élève dans la pièce, je recule laissant les hommes crier leurs douleurs, mettant le feu derrière moi. En sortant de l’institut j’admire mon œuvre, le bâtiment craque sous les flammes, je dois rapidement me cacher car la lueur rougeoyante du feu a attiré des voyeurs… J’observe toujours jusqu’à ce que le feu s’éteigne… Les douze cadavres de cette nuit étaient bien là… Mais aucune trace de Von Dreck… Mais je me dois de retrouver Logan.
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