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 | | Sujet: Fiche d'Aerandir Venusia, Élu de l'eau Mar 6 Aoû - 2:48 | |
| « Aerandir Venusia »Je ne t'abandonnerai jamais, tâche de faire de même.
Fiche d'identité
Surnoms: Randi, Didir
Âge: 120 ans
Sexe: Masculin
Race: Sirène
Peuple: Aquams
Rang: Élu de l'eau
Métier: Guérisseur
Dieu Lié: Aedin, Dieu de l’eau
CapacitésNiveau 1: 15 points à partager:
- Endurance: 1
- Vitesse: 4
- Force physique: 0
- Puissance magique: 4
- Résistance physique: 0
- Résistance magique: 1
- Charisme: 2
- Eloquence: 3
Pouvoir: Guérison
Armes et Équipement: Un masque d'argent magique, permettant à Aerandir de communiquer avec les âmes des mourants et de les sauver du trépas. Son arme est une lance de l'eau nommée Navée qui permet de liquéfier tout objet touché par son embout. De plus, elle a deux fonctions : celle de guérir ou de blesser, tout dépendant de l'intention de l'utilisateur.
Code présent dans le règlement:Chuck Norris craint les Admins
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. Description physique Ce doux visage, si fin, si pur...
Dans les contrés avoisinant son temple, beaucoup de rumeurs courent concernant le bel Élu de l'eau. On dit, à ce qu'il parait, que son teint clair fait éclater de splendeur sa peau lisse comme une soie. Malgré son masque d'argent, qu'il porte toujours au visage (sauf pour dormir, évidemment), certains de ses traits sont faciles à distinguer. Ses jolies lèvres rosées et bien sculptées s'agencent à perfection avec la légère teinte de ses pommettes. Son visage fin accentue son air sage, déjà établi par la lueur de connaissance dans ses grands yeux bleus, en forme d'amande arrondie, profonds comme l'océan. Ses cils, longs et noirs, adoucissent son regard, lui conférant son légendaire regard rempli de compassion et d'empathie. Son corps, en général, est structuré sur le long. Il n'a pas une masse musculaire très prononcée, mais certains de ses muscles sont bel et bien visible à journée longue, puisqu'il ne porte qu'un pagne de lin, d'un blanc presque aveuglant. Il se promène soit nu pieds, soit avec de petites sandales tressées, mais il préfère nettement marcher pieds nus. À sa taille, Aerandir porte une ceinture de plantes médicinales, l'aidant dans son métier de guérisseur. Ses cheveux, fins, soyeux, droits, et blancs, lui tombent jusqu'aux milieux du dos. Souvent, il les orne de perles d'argent ou de pierres précieuses plutôt modestes (jade, turquoise, améthyste, lapis lazuli, lépidolite), variant dans les teintes de vert, bleu, violet et rose. Lorsque exposée à de l'eau, de petites écailles bleu clair apparaissent sur sa peau fine.
Description psychologiqueLa bonté s'est incarnée
Aerandir est un garçon que l'on dit d'un calme légendaire. L'aura qu'il émet peut apaiser le plus tendu des guerriers, selon certains. Ses gestes témoignent une douceur incontestée, il sait manipuler la plus fragile des plantes médicinale sans jamais l'endommager. Son corps entier est enveloppé d'une grâce si raffinée que même les plus hautains des elfes en sont secrètement jaloux, mais bien sûr, Aerandir ne s'en préoccupe peu. Il est simple d'esprit et un peu naïf, ce qui le rend un peu inconscient de certaines tensions autour de lui. Pourtant, malgré sa naïveté, il est très sage et a acqui beaucoup de connaissances durant ses 120 ans de vie. Malgré son apparence jeune et sans soucis, il connais beaucoup plus de choses que la majorité des gens. Il vit un mode de vie un peu solitaire, loin de tous, dans son temple, mais il ne supporte pas la solitude, et cherchera toujours à se faire des amis et de bonnes connaissances. Il ne déteste rien de plus que la solitude, et pour s'en éloigner le plus possible, il s'est développé de bonnes qualités d'orateur, et il sait bien parler aux gens. Il excelle dans cet art, celui de parler, ce qui le rend généralement bien aimé des personnes qui croisent son chemin. Très peu de gens sur cette planète n'apprécient pas sa compagnie. Même si Aerandir est un sirène, chose qu'il tente de son mieux de cacher, il préfère nettement la terre ferme à l'eau, et c'est sur terre qu'il parcourt les routes à recherche d'âmes blessées à soigner. Il est connu pour sa grande générosité et il n'hésite jamais à procurer les soins nécéssaires à ceux qui en réclament. Il a aussi appris à concocter sérums, sirops, baumes et potions en tout genre afin d'aider à soigner toutes sortes de blessures, petites ou grandes. Même face à un ennemi, il garde toujours son sang froid et son calme paisible, refusant de se battre en toute circonstances, sauf lorsque des vies sont en danger. En cas d'attaque, il préfère toujours se défendre que de blesser autrui, mais lorsque la situation ne laisse plus place au choix, il sortira sa lance de l'eau, au tranchant léthal. En résumé, Aerandir est un jeune Sirène d'une bonté et d'une bonne humeur inégalables, qui n'hésitera jamais pour sauver une vie. «Je ne saurai jamais me le pardonner si j'échouais à sauver ta vie.»
HistoireIl était une fois...
Il y a cinquante ans de cela...
«Allez, Aerandir, prépare-toi, il est déjà tard!»
Je soupirai, encore un peu fatigué. Je n'avais pas si bien dormi, et contrairement à l'avis de mère, il était encore très tôt. Mes yeux avaient du mal à s'ouvrir correctement, mais je réussis finalement à sortir du lit en agitant paresseusement ma queue dans l'eau.
«Oui oui, maman... J'arrive...»
«Pas de “oui oui”, je te veux prêt dans 5 minutes, jeune homme! Tu sais que c'est une journée très importante pour toi et je ne te laisserai pas tout gâcher en faisant la grâce matinée!»
Un autre soupir s'échappa de ma bouche. D'un petit coup de ma forte nageoire postérieure, je me propulsai jusqu'au coin de ma chambre, où un sac reposait, tout mou et vide. Je le pris et commencai à le remplir de ce dont j'aurai besoin pour la route qui m'attendait. En effet, j'étais attendu à un rendez-vous très important. Étant fils aîné de l'Impératrice Aquam, on aurait pu s'attendre de moi que je devienne Empereur à mon tour, mais les dieux en avaient décidé autrement. L'oracle de l'eau avait été contacté par les dieux, me réclamant. Je n'avais aucune idée de ce qui allait m'attendre à ma destination, mais j'en étais plus qu'heureux ; j'allais enfin pouvoir marcher sur la terre ferme à nouveau. Le doux sable et la terre fraîche me manquaient terriblement, puisque je n'ai que très rarement l'occasion de sortir de l'enceinte du palais, retenu par mes exigences royales.
«Tu tardes, Didir! Je ne voudrais pas mettre oracle Sagïa en colère, moi qui a une bonne relation avec elle.»
«T'inquiètes, je fais mon sac et j'arrive!»
Je ramassai donc le sac et le fourra de mes quelques pagnes de lin blancs, peu utilisés, puisque sous l'eau je n'ai rien à cacher. J'ai toujours trouvé la pudeur des races terrestres incompréhensible, mais il faudra bien s'y conformer, si je veux y être à ma place. Je me déplaçai vers les cuisines, où je ramassai quelques algues, poissons et crustacés préparés, les rangeant dans mon sac aussi. J'enfilai mon précieux masque en argent, avec lequel je passe ma vie.
«Qu'as tu apporté? Tu n'as rien oublié j'espère!»
«J'ai apporté trois pagnes de lin et un peu de nourriture pour la route... C'est tout.»
«Et rien pour te défendre? Quel imprudent, mon fils, tu sais que tu ne peux pas sortir sans au moins une dague pour te protéger.»
Elle prit ma main et me donna une dague faite de coquillage aiguisé, à l'épreuve de la rouille que subissent les métaux impurs des humains.
«Bonne chance, mon grand. Reviens-nous vite.»
«J'y tâcherai. Au revoir, maman. Je t'aime.»
Et c'est larmes aux yeux que je sortis du palais, sac sur l'épaule, nageant vers la côte, où le temple de l'eau se situe. Grâce à mon habileté hors du commun, j'arrivai à la terre ferme en très peu de temps. Me hissant hors de l'eau, mon corps subit des changements drastiques. Ma peau devint telle qu'une peau humaine, et mes écaille disparurent. Ma queue se sépara, formant mes deux longues jambes. Afin de m'accomoder aux coutumes terrestres, j'ouvris mon sac et enfilai mon pagne, couvrant mon intimité. Je me levai et reprit mon équilibre pendant quelques minutes, moi qui marchait peu. Après m'être habitué, je me dirigeai vers le temple, à quelques centaines de mètres de là. À l'entrée, une femme à la peau foncée et aux cheveux de flammes m'attendait.
«Aerandir, nous t'attendions. Entre, futur Élu, tu vas maintenant suivre ta destinée.»
Quarante ans plus tard
C'est avec la bénédiction des cinq oracles que je sortis du temple, le dos chargé d'un sac rempli de vivres. Après quarante ans d'entraînement, le jeune Aerandir avait beaucoup changé. Autrefois farouche et paresseux, il était maintenant sage, calme et discipliné. Malgré ses origines de Sirène, tout ce temps passé sur la terre ferme avait raffiné sa démarche, autrefois un peu pataude. Pendant tout ce temps, il a pratiqué la magie de la guérison et de la défense, apprenant à solidifier l'eau pour la rendre plus dure que du roc. À sa dernière nuit d'entraïnement, après avoir réussi à sauver une âme presque morte de sa propre magie, Aerandir s'évanouit, pour se réveiller le lendemain avec un sentiment de découverte de soi : il était l'élu et il le savait. Une fois son entraînement terminé, il s'est vu offrir pas les dieux une pierre d'eau magique, lui permettant de communiquer avec les mourants et de les soigner, qu'il a inséré sur son masque, et sa lance d'eau, qu'il a nommé Navée.
Il était maintenant prêt pour sa quête ultime : aller à la recherche de son dragon. Pour cela, Il allait devoir nager jusqu'à une petite île perdue au millieu de l'océan, grimper la parois de sa falaise à pic, pour trouver la cave du dragon, située derrière une chute violente et sans pitié. Chaperonné par Taomi, il nagea seul pendant des centaines de kilomètres, bousculé par de violentes tempêtes. Une fois arrivé, l'escalade ne fut pas facile, mais sa nouvelle maîtrise de ses jambes lui permit de grimper jusqu'au sommet et de se lancer dans la chute pour retomber dans la cave derrière. Sur ses gardes, Aerandir se préparait à un combat qu'il espérait grandement éviter. Malheureusement pour lui, une grande aile s'étira vers lui et faillit bien lui transpercer l'abdomen. Il se retira sur un côté de la cave, de manière à être derrière le grand dragon. Évitant chacunes de ses attaques, le jeune sirère se hissa sur le dragon, bien agrippé à ses écailles. Après une bonne journée de rodéo, Aerandir comprit le problème : le dragon était blessé au cou, lui causant une douleur insupportable qui l'enrageait. En contrôlant l'eau de la chute, il purifia la blessure et la referma, calmant instantanément le dragon, avec lequel il repartit sans rodéo. Une fois de retour à ce qui était désormais son temple d'Élu, après avoir pris soin de son nouvel ami, il se rendit compte que son dragon était en fait une dragonne, et la nomma en Jaeli.
DragonUne amie redoutable
Nom : Jaeli
Sexe : Féminin
- Jaeli:
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